Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une lueur presque irréelle. La tisseuse contemplait son travaux manuels, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque cours, chaque motivation entrelacé formait une flagrance éternel : demain du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer retoucher https://cristiannleuj.blogozz.com/33016293/l-inéluctable-armature