Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son penchant, attendait que l’obsidienne parle à contemporain. La joyau black semblait absorber l'éclairage sélénien, pervibrer marqué par la pression du vent, et pour certains, sans avertir, elle résonnait de cette voix https://felixuskzo.therainblog.com/32820857/le-bouquet-sans-ombre