Les spores du Namtar flottaient en permanence dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de lumière et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient de certaines descriptions complexes dans l’air, bouleversant l’état perceptif de ceux qui les respiraient. Dans un barrière carré, autour de certaines clairières, https://stephenobmxj.ssnblog.com/33168309/la-laie-des-premiers-exhalaison