Les journées passaient dans un horde pérenne, en présence de la luminosité pâle du nord et les métamorphoses ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient délicatement, en spirale, tels que si le ciel lui-même les appelait à témoigner des messages surnaturels. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait tout matin au https://jeffreysurok.iyublog.com/33349456/le-cercle-atrabilaire